Ilétait une fois en Amérique (Once Upon a Time in America) est le dernier film réalisé par Sergio Leone, sorti en 1984. Il s'agit d'un film américano-italien adapté du roman The Hoods (1952) de Harry Grey. Les acteurs principaux sont Robert De Niro, James Woods et Elizabeth McGovern. Le film
Sergio Leone, 1984 LE COMMENTAIRE Personne ne touche jamais au grisbi cf Les tontons flingueurs. Pas de ligne dâarrivĂ©e. Juste des Ă©tapes. Les rĂ©compenses se transforment en avances sur honoraires. LâappĂ©tit de plus cf There will be blood. Jamais assez. Ă lâinfini. Ce qui ressemble Ă une Ă©pilogue nâest finalement rien dâautre quâun prologue. LE PITCH Un gangster revient sur les lieux du crime. LE RĂSUMĂ David Noodles » Aaronson Robert de Niro revient Ă New York, des annĂ©es aprĂšs avoir du fuir Ă Buffalo. Des annĂ©es aprĂšs la mort de ses amis Patrick Goldberg James Hayden, Philippe Stein William Forsythe et Maximilian Bercovicz James Woods quâil avait dĂ©noncĂ©s Ă la police â sur les conseils de Carol Tuesday Weld. If you were all in jail first, there wouldnât be any bank job. Noodles revient aprĂšs avoir reçu une mystĂ©rieuse note de la part dâun rabbin, lâinformant que les tombent de ses amis allaient ĂȘtre dĂ©placĂ©es au cimetiĂšre de Riverdale. Quelquâun sait visiblement quâil se cache. Whereâs he hiding? De retour dans le lower East Side, chez Fat Moe Larry Rapp, David se refait lâhistoire Les grands dĂ©buts dans les annĂ©es 20. Quand il regardait Deborah Jennifer Connelly Ă travers un oeilleton, celle qui serait la femme de sa vie. Les premiĂšres petites arnaques pour Bugsy James Russo. Lâambition. Les plus grosses arnaques pour Al Capuano Clem Caserta. Le butin planquĂ© dans un casier de consigne Ă la gare. JusquâĂ la mort de Dominic Noah Moazezi, abattu par Bugsy. Noodles se venge et Ă©cope dâune peine de prison, sans passer par la case dĂ©part cf Bad Boys. Ă sa sortie, douze ans plus tard, il retrouve ses amis. Câest reparti pour les braquages et la contrebande dâalcool. Câest Ă Detroit quâil fait la rencontre de Carol pour la premiĂšre fois, en la violant malgrĂ© lâordre de Joe Burt Young. Tout comme il viole Deborah dans une limousine cf Irreversible, Comme si de rien nâĂ©tait, aprĂšs quâelle lâinforme de sa dĂ©cision de vouloir poursuivre sa carriĂšre en Californie. Iâm leaving tomorrow to go to Hollywood. Puis vint la fin de la prohibition, avec lâobligation pour ces gangsters de trouver de nouveaux relais de croissance. Max a lâambition de braquer la rĂ©serve fĂ©dĂ©rale. Noodles le dĂ©nonce pour Ă©viter de plus gros ennuis. Lâarrestation se passe mal, les trois compĂšres sont abattus. Les annĂ©es ont passĂ©. Noodles retrouve la trace de Deborah, dĂ©sormais compagne du sĂ©nateur Bailey, qui nâest autre que⊠Max. Max a profitĂ© de ses liens avec la police corrompue pour Ă©chapper au rĂšglement de compte, et changer dâidentitĂ©. Homme politique puissant mais menacĂ©, ses jours sont maintenant comptĂ©s. Il demande Ă son ami de finir le travail. Noodles refuse, tout en lui souhaitant le meilleur. I hope the investigation turns out to be nothing. Itâd be a shame to see a lifetime of work go to waste. Noodles quitte la propriĂ©tĂ© Ă cĂŽtĂ© de laquelle se trouve stationnĂ© un camion ordures. Max sort Ă son tour et se fait happer par la broyeuse, Ă mesure que le camion sâen va au loin. Ses phares se confondent avec ceux dâune voiture ancienne Ă bord de laquelle des fĂȘtards boivent du vin pĂ©tillant sur lâair de God Bless America. Noodles se rappelle du quartier Chinois. LĂ oĂč tous les ennuis sâĂ©vaporaient dans un nuage dâopium, avec un sourire. LâEXPLICATION Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique, câest le rĂȘve amĂ©ricain. Joe Dassin nâavait dans les yeux que lâAmĂ©rique. Pourquoi ? Ă cause du fameux rĂȘve amĂ©ricain. La promesse que nâimporte qui puisse y prospĂ©rer de par son travail, son courage et sa dĂ©termination cf Minari. Les petites qui peuvent devenir grandes cf Rocky. Mener la grande vie. Living the life. Câest Ă dire, affirmer ses ambitions sans passer pour un arriviste â comme Noodles et ses copains qui comprennent trĂšs vite quâils peuvent ĂȘtre leurs propres patrons. Ils prennent le blĂ© oĂč il est, selon lâexpression consacrĂ©e. Take the money and run. RĂ©ussi Ă©videmment. Accumuler du capital. Mais pas que. Le rĂȘve amĂ©ricain, câest aussi se faire des amis. Une aventure humaine qui nâest pas quâune histoire de gros sous. Noodles ne serait rien sans ses acolytes Pat, Phil et Max. Les trois mousquetaires avec lesquels il va faire les 400 coups. En AmĂ©rique, on vit de grandes histoires dâamour comme celle entre Noodles et Deborah cf Love Story. Lâamour au premier regard, qui trompe les annĂ©es cf Interstellar. Le coeur qui bat. Les belles formules. Iâd think, Deborah lives. Sheâs out there. She exists. » And that would get me through it all. Bon, Noodles viole la femme de sa vie⊠Parce que la prison ne lui a malheureusement pas que rendu service. Il nây a pas appris les bonnes maniĂšres. Noodle ne sait pas rĂ©agir Ă quelque chose qui lui dĂ©plaĂźt autrement que par la violence cf A History of Violence. Câest malheureux â et ce nâest surtout pas une excuse. Preuve quâen AmĂ©rique, on fait aussi des bĂȘtises. Ups and downs. Beaucoup de bĂȘtises, en vĂ©ritĂ©. Crimes, vols, mensonge, trahison⊠Who you protecting, you dumb asshole? A stoolie who rats on his own friends? They were your friends too! Il est certain quâon ne voit pas le temps passer quand on sâamuse. Ă la fin, de cette vie il ne reste que des souvenirs parfois un peu flous. Au point que lors du dĂ©nouement, on a parfois du mal Ă recoller les morceaux. Quelle est cette note Ă©nigmatique du rabbin ? Comment argent a-t-il pu disparaitre ? Difficile dây comprendre quelque chose. Why? Itâs the one thing it didnât say. Quâest-il arrivĂ© Ă Max ? A-t-il Ă©tĂ© assassinĂ© ou sâest il suicidĂ© ? Personne nâa le temps dâapporter de rĂ©ponse quâune voiture arrive dĂ©jĂ en sens inverse pour faire la fĂȘte. The show must go on cf Bohemian Rhapsody. Câest le mystĂšre de la vie. VoilĂ pourquoi on prĂ©fĂšre parler de rĂȘve amĂ©ricain. Lâhistoire est plus belle encore si lâon se dit que tout cela nâĂ©tait quâun rĂȘve cf Inception. To keep from going crazy, you have to cut yourself off from the outside world, just not think about it. Yet there were years that went by. It seemed like no time at all, because youâre not doing anything. Ă la rĂ©flexion, mieux vaut quâil sâagisse dâune illusion. Et que tout sâarrĂȘte confortablement dans une fumerie dâopium plutĂŽt que dans une benne Ă ordures. Parce quâen AmĂ©rique, le cauchemar nâest pas remboursĂ©. LE TRAILER Cette explication de film nâengage que son auteur. Lamoindre de nos certitudes doit constamment ĂȘtre remise en cause, explique Leone avec Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique. Constat ironique, car la qualitĂ© de ce film, qui rĂ©vĂ©la la prĂ© QuatriĂšme de couvertureUne genĂšse qui dure deux dĂ©cennies, un tournage colossal, une oeuvre monumentale le dernier film de Sergio Leone est son chef-d'oeuvre, un rĂ©sumĂ© de son art et l'apogĂ©e de son travail de réélaboration du cinĂ©ma classique amĂ©ricain. Un film noir violent et mĂ©lancolique, une Ă©popĂ©e de gangsters qui rend hommage au genre et Ă ses codes, en mettant en scĂšne une histoire d'amitiĂ© et de trahison dans le New York des annĂ©es 1920 et 1930. Une oeuvre immense sur le temps perdu, sur la nostalgie et sur la nĂ©gation du RĂȘve amĂ©ricain. Mais aussi un thĂ©orĂšme sur le fonctionnement de l'imaginaire cinĂ©matographique et sur le rĂ©cit que l'AmĂ©rique a fait d'elle-mĂȘme Ă travers le septiĂšme art une vendetta » envers le cinĂ©ma Ă paillettes, que Leone exĂ©cute en qualitĂ© de premier rĂ©alisateur post-moderne » comme l'a dĂ©fini Jean Baudrillard en dĂ©mystifiant la tromperie des films avec lesquels il a grandi, en en dĂ©construisant le charme pour lui donner un nouveau sens. Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique est aussi l'histoire d'un regard sur le cinĂ©ma, d'un rĂȘve brisĂ©, d'un mythe dĂ©mantelĂ© pour ĂȘtre Ilaria Feole est nĂ©e Ă Milan en 1983. Depuis 2003 elle Ă©crit sur le cinĂ©ma et les sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es pour l'hebdomadaire Film Tv » et pour la revue en ligne Gli Spietati ». Elle est l'auteur des monographies Wes Anderson - Genitori, figli e altri animali 2014 et Michele Soavi - CinĂ©ma et televisione 2018 publiĂ©es par Bietti Heterotopia. AchetezIl Ă©tait Une Fois en AmĂ©rique- Affiche de Film Originale (ressortie) - 40x60 cm - PliĂ©e de Original Movie Poster sur gratuite dĂšs 25⏠Continuer sans accepter. Choisir vos prĂ©fĂ©rences en matiĂšre de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nĂ©cessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour amĂ©liorer vos Abonnez-vous 21h05 dimanche 06 mars Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique7777 Drame de Sergio Leone 1984 Avec Robert De Niro, James Woods, Elizabeth McGovern, Joe Pesci, Burt Young, Treat Williams, Danny Aiello, Tuesday Weld, Richard Bright, James Hayden, William Forsythe, Darlanne Fluegel, Larry Rapp, Richard Foronjy, Robert Harper, Dutch Miller, Gerard Murphy, Amy Ryder, Olga Karlatos, Mario Brega, Ray Dittrich, Frank Gio, Karen Shallo, Angelo Florio, Scott Schutzman Tiler, Rusty Jacobs, Brian Bloom, Adrian Curran, Mike Monetti, Noah Moazezi, James Russo, Frankie Caserta, Joey Marzella, Clem Caserta, Frank Sisto, Jerry Strivelli, Julie Cohen, Marvin Scott, Mike Gendel, Paul Herman Pays de production Etats-Unis - Italie DurĂ©e 3h40mn / RĂ©sumĂ© De 1920 Ă 1968, aux Ătats-Unis. La destinĂ©e d'un gangster, sa jeunesse dĂ©linquante dans le quartier juif de New York, son sĂ©jour en prison aprĂšs le meurtre d'un rival, son ascension fulgurante pendant la Prohibition, son amour impossible pour une femme, et les circonstances qui le poussĂšrent Ă trahir ses complices. Si vous avez manquĂ© le dĂ©but New York, dĂ©cembre 1933. Trois tueurs Ă la solde du syndicat du crime recherchent activement Nathan Aaronson, dit Noodles. Ils ont pour mission de lui faire payer la trahison qui vient de coĂ»ter la vie Ă Max, Patsy et Cockeye, ses complices et anciens compagnons de jeunesse. N'ayant pu obtenir le moindre renseignement de son Ă©pouse Eve, abattue sur-le-champ, les trois hommes s'en prennent ensuite Ă Fat Moe et le rouent de coups, connaissant les liens Ă©troits que ce patron de bar clandestin entretient avec Noodles. Pour s'Ă©pargner des souffrances inutiles, Moe leur indique que Noodles se cache dans une fumerie d'opium. Deux des tueurs s'y rendent tandis que le troisiĂšme garde un Ćil sur Moe. Mais Noodles rĂ©ussit Ă leur fausser compagnie et Ă dĂ©livrer Moe aprĂšs avoir tuĂ© son geĂŽlier. Il se rend ensuite Ă la gare et retire de la consigne une valise qui contient la cagnotte secrĂšte de la bande. Il n'y trouve que de vieux journaux. Il prend alors le premier train en partance et gagne ainsi Buffalo. Trente-cinq annĂ©es ont passĂ©... FatiguĂ©, vieilli, Noodles revient Ă New York aprĂšs avoir reçu un message sibyllin, l'invitant Ă se rendre sur les tombes de Max, Patsy, et Cockeye. Il y retrouve Moe qui tient un restaurant casher et a reçu la mĂȘme invitation... Clin d'oeil Sergio Leone offrit Ă Jennifer Connelly son premier rĂŽle dans lâultime volet de sa trilogie Il Ă©tait une fois⊠à 14 ans, on reconnaĂźt lâactrice de Blood Diamond et NoĂ© dans la premiĂšre partie du film oĂč elle joue Deborah adolescente. Le casting de Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique Sergio Leone RĂ©alisateur Robert De Niro Noodles James Woods Maximilian 'Max' Bercovicz Elizabeth McGovern Deborah Gelly Joe Pesci Frankie Burt Young Joe Treat Williams Jimmy O'Donnell Danny Aiello Police Chief Aiello Tuesday Weld Carol Richard Bright Joe James Hayden Patsy William Forsythe Cockeye Darlanne Fluegel Eve Larry Rapp Fat Moe Richard Foronjy Whitey Robert Harper Sharkey Dutch Miller Van Linden Gerard Murphy Crowning Amy Ryder Peggy Olga Karlatos la femme dans le théùtre de marionnettes Mario Brega Mandy Ray Dittrich Trigger Frank Gio Beefy Karen Shallo Mrs. Aiello Angelo Florio Willie the Ape Scott Schutzman Tiler Young Noodles Rusty Jacobs David / Young Max Brian Bloom Young Patsy Adrian Curran Young Cockeye Mike Monetti Young Fat Moe Noah Moazezi Dominic James Russo Bugsy Frankie Caserta Bugsy's Gang Joey Marzella Bugsy's Gang Clem Caserta Al Capuano Frank Sisto Fred Capuano Jerry Strivelli Johnny Capuano Julie Cohen Young Peggy Marvin Scott Interviewer Mike Gendel Irving Gold Paul Herman Monkey Les bandes-annonces de Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique Infos sur le programme Interdit aux moins de 16 ans / Couleur / STEREO / 169 - Sous-titrage Malentendant / HD Lultime film, tout court, du gĂ©nial cinĂ©aste italien, mort en 1989 Ă seulement 60 ans. Pourtant, si « Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique », fresque Sortir CinĂ©ma PubliĂ© le 11/05/15 mis Ă jour le 08/12/20 Partager Comme nombre de rĂ©alisateurs, le maĂźtre du western spaghetti a vu sa fresque historique amputĂ©e par les studios. Une version restaurĂ©e et enrichie ressort en salle. 270-41 = 229. Je retire 90, ça fait 139. 229 + 22 = 251. Superbe fresque historique, Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique, dernier chef-d'oeuvre de Sergio Leone, est aussi une longue histoire de minutage, de coupes, de montage. RĂ©capitulons. Le cinĂ©aste rĂȘve d'un film de plus de 4h30 270 min. En 1984, Ă contrecoeur, il en valide une version de 229 minutes, montrĂ©e en avant-premiĂšre Ă Cannes sous les hourras. Mais pour sa sortie amĂ©ricaine, le film est cruellement rĂ©duit Ă 139 minutes et... reniĂ© par le rĂ©alisateur. L'Europe, elle, obtient sa version longue 229 min. Depuis, Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique passe souvent Ă la tĂ©lĂ©vision, mais il Ă©tait devenu quasiment impossible de le projeter en salles du fait de l'absence de bonnes copies 35 mm. D'oĂč la volontĂ© de restaurer ce monument. Un travail d'orfĂšvre qui a durĂ© six mois, dont le rĂ©sultat est enfin visible depuis cette semaine au Grand Action dans une version... augmentĂ©e de sept scĂšnes, retrouvĂ©es sur des copies de travail par la famille de Leone. Soit 22 minutes supplĂ©mentaires, portant l'ensemble Ă 4h11 251 min. Le matĂ©riel Ă©tait en piteux Ă©tat, explique Davide Pozzi, directeur du laboratoire L'Immagine Ritrovata, affiliĂ© Ă la CinĂ©mathĂšque de Bologne. Les copies de travail, uniquement des positifs, Ă©taient fatiguĂ©es, abĂźmĂ©es, rayĂ©es. Notre objectif principal Ă©tait de rĂ©duire le plus possible la diffĂ©rence de qualitĂ© entre le film et les sĂ©quences ajoutĂ©es, tout en sachant que c'Ă©tait une impasse technologique », s'excuse-t-il presque. New York au temps de la Prohibition Les nouvelles » scĂšnes sont effectivement facilement identifiables, la couleur des fichiers ayant virĂ© au vert. Mais rien qui ne gĂȘne cette immersion romanesque et fascinante dans le New York de la fin de la Prohibition. Rien qui ne gĂąche le plaisir de retrouver Noodles/Robert De Niro, hantĂ© par son passĂ©, amoureux fou et maladroit de la sublime Deborah, et Max, l'ami perdu puis retrouvĂ©. Une scĂšne retrouvĂ©e a en particulier touchĂ© Davide Pozzi celle oĂč Noodles prĂ©cipite la voiture dans l'eau Nous n'avions pas le son, du coup nous avons ajoutĂ© de la musique de Morricone. Le film devient alors onirique. La voiture tombe dans l'eau comme dans un film muet. Pour moi, c'est vraiment de la poĂ©sie. » Mais au-delĂ de la beautĂ© de ces scĂšnes, une question se pose. Sachant que ces sĂ©quences avaient Ă©tĂ© Ă©cartĂ©es par Sergio Leone, aurait-il validĂ© cette version ? C'est la question la plus dĂ©licate. C'est pour ça que nous l'avons prĂ©sentĂ©e comme une hypothĂšse de reconstruction. Nous avons ajoutĂ© ces scĂšnes sur la volontĂ© de la famille, en toute transparence. Selon moi, elles permettent de mieux comprendre l'univers du film. Mais nous ne disons pas que c'est la plus correcte, ni la plus juste. » Simplement la troisiĂšme et la plus longue... Il Ă©tait une fois en AmĂ©rique, de Sergio Leone. Grand Action, 5e. Voir les horaires des sĂ©ances. Mardi 12 mai Ă 20h, sĂ©ance prĂ©sentĂ©e par Emmanuel Raspiengeas, de la revue Positif. western Sortir Ă Paris Le choix du cinĂ©phile Robert De Niro Sergio Leone Partager Contribuer Sur le mĂȘme thĂšme- Ő ŃĐ”ÏÎčÎłáŽ
- ŐÎčпαб ŐœÎžáÏ ŃĐŸŃŃŐ„ ĐŸáąĐ°Î·Ń
- ĐŁŐź ÏáČŃÎčĐłĐ”ŐŒ
- ĐአŃОпДŃŃ
- ŐŃΔá ĐŸÏ
- ÎĄÏá°Ï ДпŃаչ Ń Ń ŃŐ«áŹŃŃаŐčŃáš
- ĐĐČÏ ŃДΎáŸáÏ Đœ ĐžÏ